Tous les diplômés jusqu’à l’année académique 2013, soit 560 étudiants ont été analysés. Les articles de 170 diplômés sont référencés dans Scopus. Scopus a identifié 574 publications individuelles de ces 170 diplômés.
Chiffres clés
Total des publications par diplômé | 587 |
Diplômés ayant publié au moins 1 article | 170 |
Diplômés ayant publié au moins 2 articles | 110 |
Diplômées femmes dans la base de données Diplômés hommes dans la base de données |
174 (31 % des diplômés)
293 (69 % des diplômés) |
Diplômées femmes ayant fait paraître des publications Diplômés hommes ayant fait paraître des publications |
39 (22 % des diplômées femmes)
131 (33 % des diplômés hommes) |
Diplômées femmes ayant fait paraître au moins 2 publications Diplômés hommes ayant fait paraître au moins 2 publications |
24 (14 % de diplômées femmes)
86 (22 % de diplômés hommes) |
Publications par des diplômées femmes Publications par des diplômés hommes |
95 (16 % des publications)
492 (84 % des publications) |
Source : Technopolis 2015, Scopus
En plus de ces publications, certains diplômés ont publié des travaux scientifiques en dehors du réseau Scopus, par exemple sur des blogs en ligne. En se basant sur les profils en ligne et les publications fournies par l’AIMS, il a été constaté qu’au moins 23 diplômés ont publié des articles qui ne sont pas référencés pas dans la base de données Scopus. Il s’agit pour la plupart d’articles publiés dans des sources en ligne ouvertes.
L’analyse qui suit s’appuie sur les publications de la base de données Scopus. 75 % des documents publiés sont des articles publiés dans des revues scientifiques (y compris les articles de presse), 22 % sont des actes de conférence. Les autres 3 % comprennent des notes, des chapitres de livres et des analyses. Les cinq principaux domaines thématiques des articles sont les mathématiques (19 %), la physique et l’astronomie (19 %), l’informatique (11 %), l’ingénierie (9 %) et la médecine (9 %).
Publications des diplômés par année
10 premiers chercheurs diplômés
Selon leur indice de Hirsch et leur nombre de citations.
Nom | Institution de rattachement | Publications | Citations | Indice de Hirsch |
Osalusi Emmanuel |
Université Heriot-Watt, International Centre for Island Technology, Edimbourg, Royaume-Uni |
12 |
169 |
8 |
Abdussalam Shehu Shuaibu, | Centre international Abdus Salam de physique théorique, Trieste, Italie |
12 |
285 |
7 |
Ndeffo Martial Loth Mbah | Université Yale, Centre pour la modélisation et l’analyse des maladies infectieuses, New Haven, États-Unis |
20 |
99 |
7 |
Mazandu Gaston Kuzamunu | African Institute for Mathematical Sciences, Muizenberg, Afrique du Sud |
17 |
82 |
6 |
Mabiala Justin | Cyclotron Institute, College Station, États-Unis | 29 | 72 | 6 |
Okeke Onyekwelu Uzodinma | Université Harvard, Département de physique, Cambridge, États-Unis |
6 |
93 |
4 |
Hamdouni Yamen | N/A | 10 | 92 | 4 |
Johnstone-Robertson Simon Peter | Université de Melbourne, Parkville, Australie |
6 |
85 |
4 |
Akofor Earnest | Université de Syracuse, Département d’ingénierie électrique et d’informatique, États-Unis |
9 |
79 |
4 |
Worku Dawit Solomon |
Université de Cape Town, UCT-CERN Research, Centre et Département de physique, Cape Town, Afrique du Sud |
4 |
71 |
4 |
Citations
Le nombre cumulé de citations au 30 juin 2015 est de 1 663. Le nombre moyen de citations par article est de 2,9. Cependant, plus de la moitié des articles n’ont pas été cités. Cela n’est pas surprenant dans la mesure où de nombreux articles ont été publiés comme actes de conférence et/ou n’ont été publiés que récemment. Si les documents avec zéro citation sont exclus, la moyenne des citations par an est de 6,9 par documents Un autre indicateur clé est l’indice de Hirsch, qui est de 19. Ainsi, 19 documents de diplômés ont été cités au moins 19 fois.
5 documents les plus cités
Diplômés | Document de référence | # |
G. Mbianda | Puckett, A. J. R., Brash, E. J., Jones, M. K., Luo, W., Meziane, M., Pentchev, L., …& Huber, G. M. (2010). Recoil polarization measurements of the proton electromagnetic form factor ratio to Q 2= 8.5 GeV 2. Physical review letters, 104(24), 242301. | 112 |
Tendai Mugwagwa | Den Braber, I., Mugwagwa, T., Vrisekoop, N., Westera, L., Mögling, R., de Boer, A. B., … & Tesselaar, K. (2012). Maintenance of peripheral naive T cells is sustained by thymus output in mice but not humans. Immunity, 36(2), 288-297. | 71 |
Shehu S.Abdussalam | Conlon, J. P., Abdussalam, S. S., Quevedo, F., & Suruliz, K. (2007). Soft SUSY breaking terms for chiral matter in IIB string compactifications. Journal of High Energy Physics, 2007(01), 032. | 54 |
Shehu S.Abdussalam | Feroz, F., Allanach, B. C., Hobson, M., AbdusSalam, S. S., Trotta, R., & Weber, A.M. (2008). Bayesian selection of sign µ within mSUGRA in global fits including WMAP5 results. Journal of High Energy Physics, 2008(10), 064. | 53 |
Shehu S.Abdussalam | Feroz, F., Allanach, B. C., Hobson, M., AbdusSalam, S. S., Trotta, R., & Weber, A.M. (2008). Bayesian selection of sign µ within mSUGRA in global fits including WMAP5 results. Journal of High Energy Physics, 2008(10), 064. | 50 |
Source : Technopolis 2015, Scopus
Revues
Facteurs d’impact des 5 premières revues contenant la plupart des publications des diplômés
Revue | Nombre de publications | SNIP 2004 – 2014 | SNIP 2014 |
Physical Review C – Nuclear Physics | 13 | 1,64 | 1,649 |
PLoS ONE | 10 | 0,74 | 1,034 |
Journal of Physics: Conference Series | 9 | 0,24 | 0,266 |
Journal of High Energy Physics | 8 | 1,09 | 1,048 |
Physical Review D – Particles, Fields, Gravitation and Cosmology |
8 |
1,36 |
1,159 |
Le facteur SNIP moyen global par publication est de 1,1, ce qui indique que les diplômés de l’AIMS publient dans des revues qui se portent un peu mieux que d’autres revues dans des domaines similaires.
Analyse du réseau
Les chiffres montrent que les diplômés travaillent surtout en collaboration avec des chercheurs d’instituts d’Afrique du Sud, des États-Unis, du Canada et de l’Europe. En Europe les diplômés ont essentiellement co-publié avec des chercheurs du R-U, de l’Italie, de la France, de la Belgique et de l’Allemagne. Hormis l’Afrique du Sud, les diplômés co-publient avec des chercheurs d’autres pays africains ; principalement du Nigeria, de l’Algérie, du Ghana, du Soudan et de la Tanzanie.
15 premiers instituts en termes de co-publications
Max Plank | Nombre de co-publications | Pays |
Université de Cape Town | 83 | Afrique du Sud |
Université de Stellenbosch | 61 | Afrique du Sud |
Université du KwaZulu-Natal | 41 | Afrique du Sud |
Université du Western Cape | 38 | Afrique du Sud |
Université du Witwatersrand | 36 | Afrique du Sud |
Université Catholique de Louvain | 23 | Belgique |
Université Heriot-Watt | 21 | Royaume-Uni |
Cyclotron Institute | 20 | États Unis |
Université A & M du Texas | 19 | États Unis |
Conseil sud-africain de recherche scientifique et industrielle | 17 | Afrique du Sud |
Ithemba Laboratory for Accelerator-Based Sciences | 16 | Afrique du Sud |
Université de Cambridge | 15 | Royaume-Uni |
INFN – Laboratori Nazionali del Sud | 15 | Italie |
Université Yale | 14 | États Unis |
Khartoum University | 14 | Soudan |
Source : Technopolis 2015, Scopus